Claude Malaingre
06 07 22 89 54


Ostéopathe animalier
pour le bien-être de vos animaux





Présentation

Qu’est-ce que l’ostéopathie animale ?

L’ostéopathie animale est un traitement manuel où le praticien utilise ses mains et ses connaissances anatomiques du corps pour restaurer sa mobilité et le ramener dans son état d’harmonie naturelle.

L’ostéopathie animale ne remplace en rien les soins d’un vétérinaire : les deux profession sont complémentaires au bien être de l’animal. C’est au praticien de déterminer lors de la séance si le problème est de son resort ou non. Par exemple, il ne pourra rien faire face à un virus ou une bactérie, par contre il pourra aider le corps à correctement assimiler les médicaments et éliminer les déchets produits.

Pour travailler, l’ostéopathe animalier se base sur neuf principes fondamentaux.

L’unité du corps est un tout

L’ostéopathe voit le corps comme un tout : l’ensemble des systèmes le composant ne font qu’un et agisse en interrelation. Cela signifie que la moindre perturbation sur l’un se répercutera sur les autres.

Parmis les systèmes, on a par exemple : le système musculo-squelettique, le digestif, le respiratoire, le circulatoire (cardio-vasculaire et lymphatique), etc.

La prépondérance du système musculo-squelettique

Du précédent point découle celui-ci. En effet, le système musculo-squelettique est la charpente du corps : tout y est rattaché. Cela signifie que la moindre perturbation de l’un des systèmes se répercutera sur lui.

La structure et la fonction

« La structure gouverne la fonction et la fonction détermine/entretient la structure. »

Couplé à la théorie du rendement maximum, stipulant que toute structure soumise à des contraintes s’adaptera pour y résister, ce principe indique une relation constante entre une structure (comme une articulation) et sa fonction.

L’homéostasie

Dans le langage courant, l’homéostasie est le maintien des constantes.

Pour le fondateur de l’ostéopathie, Andrew Taylor Still, l’homéostasie indique la capacité de guérison des corps. Pour lui, et donc les ostéopathes, le corps est capable de miracles en matière de guérison s’il n’y a pas de dysfonctions l’en empêchant.

L’artère et la veine sont suprêmes

Encore une fois, du principe précédent découle celui-ci. En effet, le système circulatoire est à la fois un système de communication (hormone) et d’entretien du corps : il se charge notamment de la nutrition, de la respiration et du transport du système immunitaire.

Des artères bouchées, c’est un corps incapable de réaliser l’homéostasie.

La compensation et l’adaptation

Un corps présentant une perturbation mets en place soit une compensation, soit une adaptation, afin de pouvoir continuer à fonctionner.

Dans le cas d’une compensation, c’est une solution sur le court terme afin de permettre la survie de l’individu.

En revanche, une adaptation est définitive. C’est à l’ostéopathe de prendre en compte sa présence et respecter cette nouvelle biomécanique.

Une compensation peut évoluer en adaptation. Le praticien se doit de déterminer pour chaque visite s’il est en face d’une compensation ou d’une adaptation.

Principe de non douleur

L’ostéopathe animalier travaille, comme son nom l’indique, avec des animaux. Le principe de la non douleur est donc des plus importants.

En effet, un animal peut réagir de manière vive et dangereuse face à une douleur et peut même ensuite refuser de laisser l’ostéopathe de l’approcher de nouveau.

Tout traitement ostéopathique doit être observé et évalué

Tout traitement devra tenir compte des principes précédents

Toutes les images présentées ci-dessus ont été prises par mes soins ou lors de mes visites.